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Orbes 1959-2016: Tierra/Agua/Fuego, Orbe Terrestre, La Afrodita de Cnido, Razon de Eros, Naturaleza en el espejo 0.67

Ref. H9523 26x26. 192 pág. Fotografías en color. Música. Danza. 7-A spanish

ero yo creo que la gente negra del mundo, al rechazar el legado de colonialismo y de la dominación blanca y de construir alrededor de sí sus propios valores, niveles y perspectiva hacia la vida, han establecido al fin una base sólida para una cooperación significativa entre ellos mismos en la gran batalla del Tercer Mundo contra las naciones ricas...No hay duda que la lucha de poder blanco-negro en Sudáfrica no es sino un microcosmos del enfrentamiento global entre el Tercer Mundo y las naciones blancas ricas del mundo que se manifiesta de una manera real a medida que transcurren los años...EL aparteid, en pequeña o en gran escala, es obviamente malévolo. Nada puede justificar la presunción arrogante de que una élite de extranjeros tenga el derecho de decidir sobre las vidas de una mayoría. El hecho de que el aperteid ha sido asociado con la supremacía blanca, con la explotación capitalista y con la opresión deliberada hace que el problema sea mucho más complejo. La escasez material es suficientemente mala, pero aparejada con la pobreza espiritual mata...Rechazamos la sociedad occidental la cual se basa en el poder y que parece preocuparse de perfeccionar sus conocimiento tecnológico, a la vez que pierde su dimensión espiritual. Creemos que a la larga, la contribución especial de África al mundo será en el reino de la relación humana. Los grandes poderes del mundo pueden haber hecho maravillas dándole al mundo una panorámica industrial y militar; pero el mayor bien viene de camino desde África: dar al mundo una faz más humana.

Le retour du maître de l'ero-guroSelon une légende issue du folklore japonais, un homme qui ne parvenait pas à assouvir sa vengeance enterra son propre chien pour le nourrir de sa haine et en fit un inugami, un « dieu chien », à qui il ordonna d’aller déchiqueter son ennemi. À travers six histoires courtes, Maruo transpose dans la société moderne la terrible légende en mettant en scène le Dr Inugami, un mystérieux homme aux pouvoirs surnaturels qui va rencontrer tour à tour un lycéen assoiffé de vengeance, une troublante exorciste ou encore un père à la recherche de son enfant disparu.Dans des histoires d’une violence étrangement poétique, où la magie vient se mêler à la cosmologie ésotérique japonaise, Maruo révèle les noirceurs de l’être humain. Certaines images, sublimes et sanguinolentes, ne sont pas sans rappeler les estampes cruelles de l’époque d’Edo. Une postface écrite par l’anthropologue culturel Kazuhiko Komatsu met en lumière toute la richesse et l’arrière-plan de cette oeuvre remarquable, dessinée au début des années 1990 par le maître du genre eroguro.

Le retour du maître de l'ero-guroSelon une légende issue du folklore japonais, un homme qui ne parvenait pas à assouvir sa vengeance enterra son propre chien pour le nourrir de sa haine et en fit un inugami, un « dieu chien », à qui il ordonna d’aller déchiqueter son ennemi. À travers six histoires courtes, Maruo transpose dans la société moderne la terrible légende en mettant en scène le Dr Inugami, un mystérieux homme aux pouvoirs surnaturels qui va rencontrer tour à tour un lycéen assoiffé de vengeance, une troublante exorciste ou encore un père à la recherche de son enfant disparu.Dans des histoires d’une violence étrangement poétique, où la magie vient se mêler à la cosmologie ésotérique japonaise, Maruo révèle les noirceurs de l’être humain. Certaines images, sublimes et sanguinolentes, ne sont pas sans rappeler les estampes cruelles de l’époque d’Edo. Une postface écrite par l’anthropologue culturel Kazuhiko Komatsu met en lumière toute la richesse et l’arrière-plan de cette oeuvre remarquable, dessinée au début des années 1990 par le maître du genre eroguro.

Les analyses pionnières d’un contemporain capital.Alchimies festives, culte du plaisir, jaillissement de la vie, retour en puissance des affects et des émotions : Eros triomphe, et nous enseigne que la profondeur se cache toujours à la surface des choses, au creux de notre quotidien et de sa banalité même. Triomphe de la raison sensible sur le vieux rationalisme scientiste, du vouloir-vivre collectif sur l’individu, de la joie dionysiaque sur les monothéismes desséchants et les morales arides qui stérilisent l’action.Triomphe des pulsions et de l’imaginaire sur le progressisme empesé de nos élites et la pruderie de nos bien-pensants. Attentif aux humeurs et aux enthousiasmes secrétés par le corps social, cernant au plus près ces vibrations du monde qui composent notre postmodernité, Michel Maffesoli signe une oeuvre essentielle, aboutissement de trente ans de réflexion, livre-manifeste qui chante l’éternelle jeunesse du monde et annonce une rupture épistémologique destinée à renouveler en profondeur les conditions de la pensée philosophique.