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Conquérant de l'impossible (Docs/récits/essais) (French Edition)
Vendor: Abebooks.com Price: 48.65 $" J'ai failli mourir dans l'eau glacée, j'ai senti les crocs des ours polaires contre mon visage, j'ai survécu à des températures de - 60°C ; (...) j'ai eu les doigts, la figure et même les poumons gelés (...), l'Arctique est sans pitié. Tout ce que j'ai affronté était nouveau pour moi. Je n'ai trouvé le courage de surmonter certaines épreuves que parce que j'ignorais les souffrances qu'elles représenteraient. " Mike Horn est un aventurier de l'extrême. Il ne vit que pour relever de nouveaux défis, et repousser encore plus loin les limites de sa résistance. Pour obliger son corps à donner le meilleur de lui-même. Pour le contraindre à obéir à son esprit. Son exploit – réaliser le tour du cercle polaire arctique – il l'a vécu comme un véritable voyage vers l'humain. Parce que sur ces terres où la vie ne tient qu'à un fil, où la moindre erreur peut être fatale, la solidarité est exemplaire.
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Wakfu Serie Les Kamas de La Soif 2/2
Vendor: Abebooks.com Price: 44.28 $Smisse le Roublard n'a décidément aucune pitié! Il retient les Gélutins prisonniers et comble de la cruauté, les force à écouter ses délires de rock star pour les faire pleurer, et ainsi récupérer l'eau de leurs larmes! Yugo et ses amis n'attendront pas une fausse note de plus pour se jeter sur le devant de la scène! Riffs de guitare endiablés, duels musicaux improbables, préparez-vous à un final d'Anthologie!
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Francis Bacon : Logique de la sensation
Vendor: Abebooks.com Price: 21.12 $«Pitié pour la viande! Il n''y a pas de doute, la viande est l''objet le plus haut de la pitié de Bacon, son seul objet de pitié, sa pitié d''Anglo-Irlandais. Et sur ce point, c''est comme pour Soutine, avec son immense pitié de Juif. La viande n''est pas une chair morte, elle a gardé toutes les souffrances et pris sur soi toutes les couleurs de la chair vive. Tant de douleur convulsive et de vulnérabilité, mais aussi d''invention charmante, de couleur et d''acrobatie. Bacon ne dit pas «pitié pour les bêtes » mais plutôt tout homme qui souffre est de la viande. La viande est la zone commune de l''homme et de la bête, leur zone d''indiscernabilité, elle est ce «fait», cet état même où le peintre s''identifie aux objets de son horreur ou de sa compassion. Le peintre est boucher certes, mais il est dans cette boucherie comme dans une église, avec la viande pour Crucifié (« peinture » de 1946). C''est seulement dans les boucheries que Bacon est un peintre religieux. » G. D.
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Le Cercle
Vendor: Abebooks.com Price: 26.33 $Extrait du prologue Dans la tombe SON ESPRIT N'ÉTAIT qu'un cri. Une plainte.Dans sa tête, elle criait de désespoir, elle hurlait sa rage, sa souffrance, sa solitude... - tout ce qui, mois après mois, l'avait dépouillée de son humanité. Elle suppliait aussi. Pitié, pitié, pitié, pitié... laissez-moi sortir d'ici, je vous en supplie... Dans sa tête, elle criait et elle suppliait et elle pleurait. Dans sa tête seulement : en réalité, aucun son ne sortait de sa gorge. Elle s'était réveillée quasi muette un beau matin. Muette... Elle qui avait toujours aimé s'exprimer, elle à qui les mots venaient si facilement, les mots et les rires... Dans l'obscurité, elle changea de position pour soulager la tension de ses muscles. Elle était assise par terre, adossée au mur de pierre, à même le sol de terre battue. Elle s'y allongeait, parfois. Ou bien elle rejoignait son matelas pouilleux dans un coin. Elle passait le plus clair de son temps à dormir, couchée en chien de fusil. Quand elle se levait, elle faisait des étirements ou bien elle marchait un peu - quatre pas et retour, pas plus : son cachot mesurait deux mètres sur deux. Il y faisait agréablement chaud ; elle savait depuis longtemps qu'il devait y avoir une chaufferie de l'autre côté de la porte, à cause de la chaleur mais aussi des bruits : bourdonnements, chuintements, cliquetis. Elle ne portait aucun vêtement. Nue comme un petit animal. Depuis des mois, des années peut-être. Elle faisait ses besoins dans un seau et elle recevait deux repas par jour, sauf lorsqu'il s'absentait : elle pouvait alors passer plusieurs jours seule, sans manger ni boire, et la faim, la soif et la peur de mourir la taraudaient. Il y avait deux judas dans la porte : un tout en bas, par où passaient les repas, un autre au milieu, par où il l'observait. Même fermés, ces judas laissaient deux minces rayons lumineux trouer l'obscurité de son cachot.
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Francis Bacon, logique de la sensation
Vendor: Abebooks.com Price: 24.27 $«Pitié pour la viande! Il n''y a pas de doute, la viande est l''objet le plus haut de la pitié de Bacon, son seul objet de pitié, sa pitié d''Anglo-Irlandais. Et sur ce point, c''est comme pour Soutine, avec son immense pitié de Juif. La viande n''est pas une chair morte, elle a gardé toutes les souffrances et pris sur soi toutes les couleurs de la chair vive. Tant de douleur convulsive et de vulnérabilité, mais aussi d''invention charmante, de couleur et d''acrobatie. Bacon ne dit pas «pitié pour les bêtes » mais plutôt tout homme qui souffre est de la viande. La viande est la zone commune de l''homme et de la bête, leur zone d''indiscernabilité, elle est ce «fait», cet état même où le peintre s''identifie aux objets de son horreur ou de sa compassion. Le peintre est boucher certes, mais il est dans cette boucherie comme dans une église, avec la viande pour Crucifié (« peinture » de 1946). C''est seulement dans les boucheries que Bacon est un peintre religieux. » G. D.
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