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Editeur : Le dilettante Date de parution : 2013 Description : In-8, 254 pages, broché, occasion, très bon état. Envois quotidiens du mardi au samedi. Les commandes sont adressées sous enveloppes bulles. Photos supplémentaires de l'ouvrage sur simple demande. Réponses aux questions dans les 12h00. Librairie Le Piano-Livre. Merci. Please let us know if you have any questions. Thanks

Imagine a burst with no burst. Un-burst. Burst less. Like a fresh tart lemon dropped on an old concrete floor. The perfect guitar for your renditio...

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At head of title: Ministero per i beni e le attivita culturali soprintendenza archeologica di Pompei.

Un chef d'oeuvre" New York Times. Plongez dans le premier album sans texte de Gautier Languereau. Une histoire qui invite à voyager et utiliser son imagination. Avec un simple crayon rouge, une fillette dessine une porte magique, qui s ouvre sur des mondes imaginaires. Crayon en main, elle crée tour à tour un bateau, une montgolfière, et un tapis volant ; et traverse des royaumes enchanteurs. Une aventure poétique à l encre, plume et aquarelle, qui montre que l'imagination offre un voyage sans limite.

Ce volume est consacré principalement à deux moyens d?expression utilisés de façon très variée par la société en Gaule romaine et au moins dans une région voisine, l?Italie de Nord : les représentations sculptées, moulées ou peintes, et les inscriptions. Les auteur.e.s qui se sont rassemblé.e.s dans ses pages en ont choisi un certain nombre qui leur sont apparues comme particulièrement significatives, et qu?ils ont présentées ainsi que commentées soit de manière individuelle soit par séries. Il s?y ajoute plusieurs articles traitant de thèmes qui se rattachent de façon plus ou moins proche au sujet principal.

Ce volume du professeur Charles L. Feinberg sur les douze petits prophètes fait revivre pour le lecteur la vie, l’époque et les grandes idées de ces hommes de Dieu.Les connaissances et les recherches approfondies de l’auteur se manifestent à chaque page ; malgré cela, le style de cette étude reste lucide et facile à comprendre pour les non-spécialistes et les étudiants. Dans sa jeunesse, l’auteur a fait des études hébraïques pour devenir rabbin, et cette étude est basée sur ses connaissances en hébreu de l’époque biblique. Son but est de susciter chez les lecteurs un amour biblique et spirituel pour le peuple juif. Son point de vue se place dans la ligne de pensée conservatrice, et il croit à l’enlèvement avant le millenium.

Paris 1994. 1 Volume/1. -- Comme Neuf -- Broché cousu. Couverture illustrée à rabats.Format in-8°( 24 x 16,2 cm )( 1330 gr ). ----- 672 pages avec 130 illustrations, 3 cartes. Glossaire, bibliographie. ********************** "" Resté captif des Ashanti pendant quatre ans, Bonnat, dans ce journal récemment retrouvé, raconte ce qu étaient, vues de l intérieur, la vie quotidienne et la vie publique dans un puissant Etat de l Afrique noire juste avant qu il ne tombe sous les coups des colonisateurs anglais. La curiosité d esprit de cet autodidacte donne à ses cahiers une forte originalité. "" ************************* ref ya75779 ref att 961

Postface 2009 traduite de l’anglais par Pierre-Emmanuel Dauzat.Paru aux Éditions du Seuil en 1964, Pie XII et le Troisième Reich a marqué l’historiographie. Événement intellectuel, succès commercial, le livre s’imposa comme un livre pionnier. Il reste une référence aujourd’hui. Pour cette nouvelle édition, Saul Friedländer a rédigé une longue postface (« Pie XII et l’Holocauste. Un réexamen ») : qu’a-t-on appris depuis quarante-cinq ans sur les troubles relations du Vatican avec le régime nazi ? Sur Pie XII lui-même et sur son silence à propos du génocide ? Alors que les archives de cette période demeurent encore inaccessibles, Saul Frieländer fait le bilan de plus de quatre décennies de recherche.

Les opinions peuvent changer avec le temps. Mais rien n'y fait à l'affaire : un grand écrivain reste un grand écrivain. Ce formidable projet-cette Histoire naturelle et Sociale d'une famille (les Rougon-Macquart) sous le Second Empire-, ces romans qui se veulent l'expression du combat hostile que se mènent les classes sociales, la dénonciation du Veau d'Or (à l'heure où le capitalisme financier et les grands projets irriguent la France rurale d'un sang nouveau et font pousser, par les voies ferrées, de nouvelles nervures) et la condamnation des instincts égoïstes, restent, au-delà de ces connotations voulues par Zola-Germinal, l'Assomoir, La bête humaine pour les combats de la classe ouvrière, -Pot-Bouille et Au bonheur des Dames pour les nouvelles pratiques commerciales capitalistes et l'arrivisme forcené des parvenus du Second Empire-, -Nana pour la dénonciation des moeurs dissolues des milieux dirigeants-l'Argent-pour la férocité et le goût du lucre des spéculateurs haussmaniens-La Débacle-pour l'effondrement de cet édifice rongé par ses turpitudes-,de formidables morceaux d'écriture.La force du propos, la noirceur des situations et des moeurs, le poids du milieu font de Zola un authentique naturaliste même si son attitude optimiste et idéaliste le séparent de Flaubert, Maupassant ou Huysmans. La qualité de l'oeuvre lui permet de toute façon d'échapper aux étiquettes ce qui est la signature même du grand écrivain.Enfin, il y a cette atypie-non pas le Docteur Pascal, le bon apôtre bêlant du monde nouveau, cette conclusion ratée de ce Panthéon littéraire-mais "l'Oeuvre", sorte de discussion passionnée sur l'Art et la peinture avec son ami d'enfance d'Aix en Provence, Paul Cézanne, qui débouchera sur une incompréhension mutuelle et une brouille. L'Oeuvre, ce roman noir, torrentiel et enthousiasmant. Zola tel qu'en lui-même.

Parue pour la première fois en 1938, cette remarquable étude sur la seule révolte d’esclaves qui ait réussi est devenue un classique. Elle reste un modèle de la recherche historique, aussi fine dans son analyse politique des événements que passionnante dans sa narration. En 1791, dans la Caraïbe, l’île de Saint-Domingue, la plus prospère des colonies française et marché important pour le commerce des esclaves, est prise dans l’engrenage de la révolution ; la révolution revue et corrigée par le contexte tropical. Pendant douze ans, les esclaves révoltés vont se dresser contre les maîtres blancs, affronter successivement les armées françaises, espagnoles et anglaises et remporter une victoire décisive sur l’expédition envoyée par Bonaparte en 1803, victoire qui instaurera l’État noir d’Haïti. Toussaint Louverture – lui-même esclave jusqu’à l’âge de 45 ans – fut le chef de cette gigantesque entreprise. Quel processus engendra cette révolution ? Comment produisit-elle ce chef hors du commun et de quelle manière la porta-t-il à son tour jusqu’à sa conclusion triomphale ? Tels sont quelques-uns des thèmes principaux abordés dans ce grand livre. Au moment où C.L.R. James est enfin découvert en France, il semblait nécessaire de réviser la traduction de Pierre Naville, belle infidèle parue en français en 1949 : on s’est efforcé de respecter son rythme, aussi enlevé que celui de l’auteur, tout en corrigeant des erreurs manifestes et en la rapprochant de l’original.

Les opinions peuvent changer avec le temps. Mais rien n'y fait à l'affaire : un grand écrivain reste un grand écrivain. Ce formidable projet-cette Histoire naturelle et Sociale d'une famille (les Rougon-Macquart) sous le Second Empire-, ces romans qui se veulent l'expression du combat hostile que se mènent les classes sociales, la dénonciation du Veau d'Or (à l'heure où le capitalisme financier et les grands projets irriguent la France rurale d'un sang nouveau et font pousser, par les voies ferrées, de nouvelles nervures) et la condamnation des instincts égoïstes, restent, au-delà de ces connotations voulues par Zola-Germinal, l'Assomoir, La bête humaine pour les combats de la classe ouvrière, -Pot-Bouille et Au bonheur des Dames pour les nouvelles pratiques commerciales capitalistes et l'arrivisme forcené des parvenus du Second Empire-, -Nana pour la dénonciation des moeurs dissolues des milieux dirigeants-l'Argent-pour la férocité et le goût du lucre des spéculateurs haussmaniens-La Débacle-pour l'effondrement de cet édifice rongé par ses turpitudes-,de formidables morceaux d'écriture.La force du propos, la noirceur des situations et des moeurs, le poids du milieu font de Zola un authentique naturaliste même si son attitude optimiste et idéaliste le séparent de Flaubert, Maupassant ou Huysmans. La qualité de l'oeuvre lui permet de toute façon d'échapper aux étiquettes ce qui est la signature même du grand écrivain.Enfin, il y a cette atypie-non pas le Docteur Pascal, le bon apôtre bêlant du monde nouveau, cette conclusion ratée de ce Panthéon littéraire-mais "l'Oeuvre", sorte de discussion passionnée sur l'Art et la peinture avec son ami d'enfance d'Aix en Provence, Paul Cézanne, qui débouchera sur une incompréhension mutuelle et une brouille. L'Oeuvre, ce roman noir, torrentiel et enthousiasmant. Zola tel qu'en lui-même.

Orateur et maitre de rhetorique, Antiphon est aussi reste celebre pour son activite politique. Aristocrate convaincu, il est l'un des instigateurs de la revolution oligarchique qui eut lieu a Athenes en 411. Aux cotes de Phrynicos et de Theramene, il participe au renversement de la constitution d'Athenes et a l'instauration du regime des Quatre-Cents. Il tombe avec ce regime: les Quatre-Cents renverses, Antiphon est accuse de trahison et condamne a mort, malgre le brillant discours qu'il prononce devant le peuple d'Athenes et dont Thucydide a conserve la trace. Notre edition regroupe en un volume l'ensemble des discours d'Antiphon ainsi que les fragments d'Antiphon le Sophiste, longtemps confondu avec notre auteur. Les Discours comprennent a la fois les plaidoyers rediges pour des cas reels et les Tetralogies, suite de quatre discours fictifs, a l'usage des futurs orateurs, prononces pour crimes de sang. L'introduction fait le point sur les connaissances relatives a Antiphon et relate l'histoire des editions et de la traduction manuscrite. Chaque texte est precede d'une notice explicative, tandis que des notes accompagnent et eclairent la lecture. L'ouvrage est en outre enrichi d'un index.

Couverture un peu salie mais le reste propre, frais et solide

Ce volume du professeur Charles L. Feinberg sur les douze petits prophètes fait revivre pour le lecteur la vie, l’époque et les grandes idées de ces hommes de Dieu.Les connaissances et les recherches approfondies de l’auteur se manifestent à chaque page ; malgré cela, le style de cette étude reste lucide et facile à comprendre pour les non-spécialistes et les étudiants. Dans sa jeunesse, l’auteur a fait des études hébraïques pour devenir rabbin, et cette étude est basée sur ses connaissances en hébreu de l’époque biblique. Son but est de susciter chez les lecteurs un amour biblique et spirituel pour le peuple juif. Son point de vue se place dans la ligne de pensée conservatrice, et il croit à l’enlèvement avant le millenium.

Que faire aujourd’hui de ce qui reste du projet moderne, de sa passion pour le réel ― pas la réalité dont notre contemporanéité se repaît, mais le réel ― passion dévorante, insoutenable, atroce ― seule passion raisonnable pourtant ? Comment se tenir après la modernité sans tomber dans l’infamie du “post” ? Que détermine ce reste de modernisme, cette ultime fidélité moderne qui se donnerait comme «faible passion du réel » ?Ce sont ces questions, pas moins, qui ont guidé la main de Juan Pérez Agirregoikoa au moment de s’emparer de ses feutres, crayons et tubes de couleurs. De l’autre main, l’auteur devait feuilleter quelques ouvrages d’un air coupable, cherchant dans les écrits d’Alain Badiou et de Jacques Lacan sinon un soutien du moins des points d’où démarrer. Un nouveau départ, un second souffle.Pour la circonstance, Juan Pérez Agirregoikoa a relevé de ses cendres Arlequin, héros moderne par excellence, figure de la peinture moderne, celui qui porte sur lui, à même la peau et cousue pièce par pièce, l’abstraction géométrique. Pérez Agirregoikoa l’a secoué de sa grisaille pour lui refaire faire un tour de piste. Un tour pas bien gai, drôle souvent mais en définitive assez amer, dur, désespéré. Un tour tout de même, sur une piste mal assurée, semée d’embûches, merdeuse, le cirque d’aujourd’hui et sa sinistre parade : démocratie, romantisme, flicage, libéralismes, traditionalismes, cléricalisme, artisterie, sens et sensibilité...

Parue pour la première fois en 1938, cette remarquable étude sur la seule révolte d’esclaves qui ait réussi est devenue un classique. Elle reste un modèle de la recherche historique, aussi fine dans son analyse politique des événements que passionnante dans sa narration. En 1791, dans la Caraïbe, l’île de Saint-Domingue, la plus prospère des colonies française et marché important pour le commerce des esclaves, est prise dans l’engrenage de la révolution ; la révolution revue et corrigée par le contexte tropical. Pendant douze ans, les esclaves révoltés vont se dresser contre les maîtres blancs, affronter successivement les armées françaises, espagnoles et anglaises et remporter une victoire décisive sur l’expédition envoyée par Bonaparte en 1803, victoire qui instaurera l’État noir d’Haïti. Toussaint Louverture – lui-même esclave jusqu’à l’âge de 45 ans – fut le chef de cette gigantesque entreprise. Quel processus engendra cette révolution ? Comment produisit-elle ce chef hors du commun et de quelle manière la porta-t-il à son tour jusqu’à sa conclusion triomphale ? Tels sont quelques-uns des thèmes principaux abordés dans ce grand livre. Au moment où C.L.R. James est enfin découvert en France, il semblait nécessaire de réviser la traduction de Pierre Naville, belle infidèle parue en français en 1949 : on s’est efforcé de respecter son rythme, aussi enlevé que celui de l’auteur, tout en corrigeant des erreurs manifestes et en la rapprochant de l’original.

Autre couverture. Mme isbn. Edition de 2011. Une petite cornure de page. le reste neuf. prix en consquence

29104. Soulignement Sur a Peu Près 10 Pages Sur 300. Le Reste En Très Bon État. Envoi Rapide Et Soigné Depuis La France Et Partout Dans Le Monde Avec Un Numéro de Suivi