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Marsilius of Inghen (+ 1396) is one of the most intriguing thinkers of the late middle ages. He combines in his writings different intellectual traditions such as Nominalism and Thomism, which he shaped into what came to be known after his death as the via marsiliana. His works on logic and his commentaries on Aristotle were widely used as textbooks at the late medieval universities and his commentary on the Sentences played a significant role in 16th century Spanish scholasticism. This volume explores the thinking of Marsilius from different perspectives. Part 1 examines the background of his philosophy and theology. Part 2 discusses his writings. And Part 3 is devoted to the impact of his thought. The book contains original essays by specialists on the subject, some of which are accompanied by partly editions from the manuscripts of hitherto unpublished works.

C'est à une réflexion de fond qu'invite Georges Corm dans ce livre, pour comprendre les logiques de guerre qui déchirent le Proche et le Moyen-Orient depuis la fin de la guerre froide. Des conflits le plus souvent justifiés par la thèse débilitante du " choc des civilisations " et de la lutte contre le terrorisme " transnational " islamiste. Popularisée dans le monde entier, cette thèse a imposé une vision binaire du monde qui n'en finit plus d'enfler, au point de fabriquer toujours plus de violence. Prolongeant les analyses historiques remarquablement documentées de ses livres précédents, Georges Corm donne ici les clés décisives pour comprendre les mécanismes ayant permis depuis les années 1990 de paralyser les oppositions aux guerres injustes et d'étouffer la pensée objective du réel et de ses complexités : la puissance des représentations médiatiques (et académiques) portées par l'imaginaire du " retour du religieux ", la manipulation de la mémoire et de l'histoire, l'instrumentalisation de prétendues valeurs politico-religieuses pour susciter des conflits, la relation perverse entre les intérêts géopolitiques de certains États et leur prétention à défendre dans l'ordre international des idéaux religieux, l'application sélective du droit international aux situations conflictuelles. D'où l'accent mis dans ce livre, à la fois très personnel et rigoureux, sur la nécessité d'une lecture profane des conflits face aux " fanatismes civilisationnels " et sur la problématique de la laïcité et de la liberté, dans sa version républicaine " à la française ".

571 S., mit 14 s/w-Abb. Neuwertiges Ex. / Fine Copy // An der Schwelle vom 5. zum 6. Jahrhundert prägte der Anwalt und Dichter Dracontius die literarische Landschaft im vandalischen Nordafrika. Er verfasste sowohl christliche als auch kleinere profane Gedichte verschiedenster Gattungen, teils mythologischen Inhalts. Dieses Nebeneinander von christlichem und traditionell paganem Dichten macht Dracontius zu einem besonders interessanten Forschungsgegenstand. Herausragende Stücke sind seine Epyllia eine dichterische Form, die im vandalischen Afrika wohl einen besonderen Höhepunkt erreichte, heute jedoch beinahe ausschließlich durch Dracontius` Dichtungen repräsentiert wird. Der Raptus Helenae ist das wahrscheinlich am deutlichsten in der Tradition des Epos stehende Werk des Dichters. Katharina Pohl legt mit diesem Band einen Kommentar dieses letzten bisher unkommentiert gebliebenen Epyllions vor. Neben der detaillierten philologischen Erschließung des 655 Verse umfassenden Gedichts bietet der Band zudem erstmals eine deutsche Übersetzung, eine Edition auf der Grundlage des codex unicus N sowie eine Gesamtinterpretation. ISBN: 9783515122160 Sprache: Deutsch Gewicht in Gramm: 1066

Que peut-on savoir de la vie affective du Moyen Âge ? Sur ce sujet longtemps négligé, les sources sont pourtant nombreuses : la littérature profane et spirituelle, l’iconographie, les chroniques, mais aussi la théologie et la médecine nous livrent mille indices sur la place des émotions dans la vie sociale.De la colère d’un puissant à l’indignation du petit peuple, de la honte démonstrative d’une sainte à la crainte de la honte d’un grand, de l’amitié entre moines à la souffrance à l’imitation du Christ, de l’enthousiasme d’un groupe de croisés à la peur d’une ville entière face à la guerre ou à la peste qui approche, les exemples sont multiples. L’émotion n’est pas l’expression d’une confusion des esprits ni d’un chaos des règles sociales. Tous ces éclats de joie et de douleur, signes d’une humanité entière, produisent du sens qui ne se comprend que dans son contexte. Tout au long du millénaire médiéval, un modèle chrétien d’affectivité, élaboré à petite échelle dans les laboratoires monastiques, se construit, se répand, pénètre la société, tout en interagissant avec d’autres modèles, déjà présents ou en voie de construction parallèle, comme celui de la culture de cour.D’où qu’on la regarde, on constate que l’émotion au Moyen Âge irrigue les relations sociales, dans une diversité d’interprétations et une vitalité culturelle qui impressionnent.

Best-seller médiéval, Le Roman de la rose est l’ouvrage profane le plus copié au Moyen Âge après la Divine Comédie de Dante : on en conserve près de 300 manuscrits. Lu, cité, admiré, il a séduit des générations de lecteurs entre la fin du XIIIe et le début du XVIe siècle, et connaît aujourd’hui une nouvelle fortune grâce aux images numériques des manuscrits accessibles sur le Net. Rédigé au XIIIe siècle par Guillaume de Lorris et Jean de Meun, appartenant à la tradition des « arts d’aimer », inspirés d’Ovide, le Roman de la rose, sous couvert d’un songe allégorique, est le récit d’une conquête amoureuse, celle de la rose – la jeune fille modèle – par l’Amant. S’achevant sur la défloration métaphorique mais explicite de l’Aimée, il donne ainsi, au terme d’un débat solidement argumenté, une conclusion favorable aux forces de vie, faisant fi des tensions propres à l’amour courtois, à la morale conjugale et à l’enseignement de l’Église. Tout à la fois délicieusement aimable et misogyne, courtois et érudit, codifié et subversif, le Roman de la rose a suscité, au début du XVe siècle, une querelle littéraire dans laquelle s’illustra le premier auteur « féministe », Christine de Pisan. Le présent ouvrage est une invitation à découvrir en images, à travers les manuscrits enluminés de la BNF, la matière littéraire et le substrat culturel de ce monument de la littérature médiévale.

Que peut-on savoir de la vie affective du Moyen Âge ? Sur ce sujet longtemps négligé, les sources sont pourtant nombreuses : la littérature profane et spirituelle, l’iconographie, les chroniques, mais aussi la théologie et la médecine nous livrent mille indices sur la place des émotions dans la vie sociale.De la colère d’un puissant à l’indignation du petit peuple, de la honte démonstrative d’une sainte à la crainte de la honte d’un grand, de l’amitié entre moines à la souffrance à l’imitation du Christ, de l’enthousiasme d’un groupe de croisés à la peur d’une ville entière face à la guerre ou à la peste qui approche, les exemples sont multiples. L’émotion n’est pas l’expression d’une confusion des esprits ni d’un chaos des règles sociales. Tous ces éclats de joie et de douleur, signes d’une humanité entière, produisent du sens qui ne se comprend que dans son contexte. Tout au long du millénaire médiéval, un modèle chrétien d’affectivité, élaboré à petite échelle dans les laboratoires monastiques, se construit, se répand, pénètre la société, tout en interagissant avec d’autres modèles, déjà présents ou en voie de construction parallèle, comme celui de la culture de cour.D’où qu’on la regarde, on constate que l’émotion au Moyen Âge irrigue les relations sociales, dans une diversité d’interprétations et une vitalité culturelle qui impressionnent.

En Occident, tout le monde peut citer des épisodes de la vie de Jésus ou de Moïse, mais rares sont les personnes en mesure de relater la vie Mahomet. Alors que l’islam est présenté comme la deuxième religion de France, le parcours terrestre de l’ultime messager d’Allah mérite d’être connu, même par le profane.Charb et Zineb nous font découvrir les faits les plus marquants de son existence et nous expliquent l’origine des grands préceptes de la religion musulmane : la naissance du prophète, les révélations de l’ange Gabriel, ses mariages, les miracles, l’hégire... Ils nous éclairent aussi sur la vie intime et familiale de Mahomet, sur des épisodes peu connus par les musulmans eux-mêmes.Zineb a reconstitué le parcours du prophète, grâce à de longs mois de recherches dans les sources islamiques. Chaque anecdote, chaque citation proviennent des textes de la vulgate canonique, reconnus par les oulémas les plus rigoureux. Avec l’humour qu’on lui connaît, Charb a mis en images la vie de Mahomet telle que l’on racontée les chroniqueurs de l’islam. C’est un traitement bien français de l’histoire d’une religion que propose ce livre : laïque et universaliste.

En Occident, tout le monde peut citer des épisodes de la vie de Jésus ou de Moïse, mais rares sont les personnes en mesure de relater la vie Mahomet. Alors que l’islam est présenté comme la deuxième religion de France, le parcours terrestre de l’ultime messager d’Allah mérite d’être connu, même par le profane.Charb et Zineb nous font découvrir les faits les plus marquants de son existence et nous expliquent l’origine des grands préceptes de la religion musulmane : la naissance du prophète, les révélations de l’ange Gabriel, ses mariages, les miracles, l’hégire... Ils nous éclairent aussi sur la vie intime et familiale de Mahomet, sur des épisodes peu connus par les musulmans eux-mêmes.Zineb a reconstitué le parcours du prophète, grâce à de longs mois de recherches dans les sources islamiques. Chaque anecdote, chaque citation proviennent des textes de la vulgate canonique, reconnus par les oulémas les plus rigoureux. Avec l’humour qu’on lui connaît, Charb a mis en images la vie de Mahomet telle que l’on racontée les chroniqueurs de l’islam. C’est un traitement bien français de l’histoire d’une religion que propose ce livre : laïque et universaliste.

Neuware - Achim Simon untersucht die österreichische Malerei des ausgehenden Mittelalters. Dabei werden die Wirkungsmechanismen der niederländischen Malerei, das Aufeinandertreffen von heimischer Tradition und fremden Einflüssen exemplarisch deutlich.Warum war die niederländische Kunst für Europa so wichtig und wie konnte sie eine so große Wirkung entfalten Achim Simon stellt nicht nur dar, wie sich die Kenntnis der niederländischen Vorbilder durch Künstlerwanderungen, Kunstexporte und Zeichnungen verbreitete, sondern auch, wie die Künstler die Rolle von Vorbildern einschätzten und auf welche Art sie diese in ihren Werken adaptierten. Anhand von Schriftquellen geht er auf die Fragen nach einer mittelalterlichen Kunsttheorie, nach der Einschätzung von Originalität und nach einem spezifischen Stilbewußtsein ein und macht deutlich, daß es im 15. Jahrhundert nicht nur in Italien sondern auch nördlich der Alpen ein differenziertes Kunstverständnis gab. Eine wichtige Rolle bei der Aneignung des niederländischen Stils durch die österreichischen Maler spielten die unterschiedlichen materiellen und technischen Grundlagen der verschiedenen Malschulen. Im Hauptteil der Arbeit analysiert Achim Simon die Rezeption der niederländischen Werke in den verschiedenen Kunstlandschaften Österreichs. Der Autor verdeutlicht die vielfältige Adaption der niederländischen Vorbilder und entwirft dabei ein differenziertes Bild von Motivation und Funktionsweise der spätgotischen Malerei.The great virtue of this book is its revelation of the great variety of Austrian responses to western influence, and the pervasive fashion after mid-century for increasing realism.[Jane Campbell Hutchison, Renaissance Quarterly]

Wie kaum eine andere Institution des ausgehenden Zarenreichs war die russische Bauerngemeinde Objekt unterschiedlichster Ordnungsvorstellungen. Von den Eliten wurde sie als ruckstandig verdammt, als Ausdruck russischer Kollektivitat idealisiert oder als unterste Stufe des gutsherrschaftlichen oder staatlichen Verwaltungsapparats funktionalisiert. Fur die Bauern ubernahm sie eine Vielzahl an Aufgaben: Sie organisierte ihr Zusammenleben, verwaltete ihre wirtschaftlichen Angelegenheiten und regelte ihre Beziehungen zur Obrigkeit. Vorstellungen regelgebundener Verwaltungsrationalitat, die unter gutsherrschaftlichen und staatlichen Reformern immer popularer wurden, liessen sich nur schwer auf sie ausweiten. Als die russischen Bauern im Jahr 1861 aus der Leibeigenschaft entlassen wurden, kam es daher zu einigen Kontroversen daruber, wie sie in den Staat zu integrieren seien. Wie konnte gewahrleistet werden, dass Ordnung herrschte und die staatlichen Interessen gewahrt blieben? Sollten die Bauerngemeinden ein Teil der Staatsverwaltung werden oder ihre Sonderstellung behalten? Welche Rolle wurde dabei der ortliche Gutsadel, welche die ortliche Burokratie spielen? Das Buch beschreibt am Beispiel des Gouvernements Rjazan' die Wechselbeziehungen zwischen staatlichen und gutsherrschaftlichen Reformern und den bauerlichen Selbstverwaltungen zwischen 1834 und 1889. Besonders interessiert dabei die Frage, wie es dazu kommen konnte, dass die rechtliche Isolation der Bauernschaft vom Rest der Gesellschaft am Ende dieses Zeitraums nicht gemindert, sondern im Gegenteil zementiert wurde.

The National Gallery's collection of Spanish paintings is distinguished by seven of El Greco's works from every period of his activity in Italy and Spain; Diego Velázquez' work on an intimate scale; Bartolomé Esteban Murillo's images addressing both the sacred and profane; and seven of Francisco de Goya's incisive portraits of Spain's aristocratic and intellectual society. Also included are two panels by the Master of the Catholic Kings, which represent Hispano-Flemish painting of the late fifteenth century at its best.

Habitant d'Haïti et initié à la magie vivante de son pays, Samuel Pélerin présente ici les anciens mystères utilisés par les initiés et les profanes. La prières vivante, et les rituels qui l'accompagnent, permettent l'exercice de la volonté sur la nature, sur soi, sur les autres. Ce livre rare dévoile les secrets de cette magie mythique.

Habitant d'Haïti et initié à la magie vivante de son pays, Samuel Pélerin présente ici les anciens mystères utilisés par les initiés et les profanes. La prières vivante, et les rituels qui l'accompagnent, permettent l'exercice de la volonté sur la nature, sur soi, sur les autres. Ce livre rare dévoile les secrets de cette magie mythique.

"Otto Schmirler, éminent artisan en ferronnerie, nous donne ici son troisième ouvrage consacré au fer forgé. Il y mentionne et décrit les diverses phases du travail, du laminage à l'affilage jusqu'au clivage et à l'équirrassage. Le maître s'adresse aux débutants, aux profanes et à ceux qui font de la ferronnerie leur passe-temps en présentant une multiplicité de choses que même l'artisan de métier n'a probablement pas encore eu l'occasion de lire et surtout de trouver illustrées de façon aussi exemplaire. L'auteur met l'accent autant sur les oeuvres artisanales que sur les outils, les diverses phases du travail et sur les formes fondamentales du fer forgé. L'ouvrage se signale également par les aquarelles exécutées par l'auteur et qui confèrent au livre un attrait particulier." 224 illustrations, dont 37 en couleurs et 85 dessins. - Editions Charles Moreau, 2006, 22,5 x 27,5 cm, cartonnage beige de l'éditeur, jaquette illustrée, 128 pages.TRILINGUE FRANÇAIS/ALLEMAND/ANGLAIS

Blake, a noted film critic, reveals a Catholic imagination at work in the films of Martin Scorsese, Alfred Hitchcock, Frank Capra, John Ford, Francis Ford Coppola, and Brian De Palma. Their movies are permeated with such Catholic ideas as sacramentality (the sacred is present in the profane things of the world), mediation (God works in our lives through specific people and things), and communion (salvation depends on belonging to a community).