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On Being a Supervisee: Creating Learning Partnerships 0.68

Provides firstperson, subjective accounts of the supervisory process from the viewpoint of both the supervisor and the supervisee.

Provides firstperson, subjective accounts of the supervisory process from the viewpoint of both the supervisor and the supervisee.

Il est loin le temps où Sade se publiait sous le manteau et où Jean-Jacques Pauvert comparaissait devant les tribunaux pour en avoir édité les oeuvres. Aujourd'hui le divin marquis, à l'instar de Montaigne ou de saint Augustin, est honoré d'une publication en Pléiade supervisée par un des meilleurs connaisseurs français du XVIIIe siècle, Michel Delon. Ce second volume, une merveille d'érudition, nous présente une vision perspective de l'évolution sadienne en regroupant toutes les oeuvres consacrées à Justine. Cette héroïne fut en effet, pour Sade, la compagne d'une vie (à l'image de Faust pour Goethe ou de Figaro pour Beaumarchais, note pertinemment l'éditeur). Plus qu'un personnage, elle fait figure d'archétype romanesque indéfiniment réemployable. On trouvera en effet dans l'ouvrage Les Infortunes de la vertu(1787), Justine ou les Malheurs de la vertu(1789), puis La Nouvelle Justine(1791). Au fil de ces trois textes, on voit l'écriture sadienne se densifier, les péripéties se ramifier et les personnages s'enrichir, prendre épaisseur et éloquence. Car Sade est à la fois l'homme du récit et de la démonstration. L'idée que la vertu, incarnée par Justine, ne procure que drames et souffrances, que seul le vice est source de joie et de réussite s'incarne dans des récits de plus en plus complexes où péripéties et discours vont se ramifiant. Le lecteur est ainsi porté, au fil de textes balisés par de savoureuses gravures érotiques détaillant pratiques et postures, par des scènes de drames, de débauches et de torture entrecoupées d'amples démonstrations sur la morale et la société. Suivi d'un troisième tome, ces trois Justine nous permettent également d'apprécier cette vérité longue à être reconnue : que Sade est, avec Pascal, Proust et Céline, un des plus grands écrivains français

Il est loin le temps où Sade se publiait sous le manteau et où Jean-Jacques Pauvert comparaissait devant les tribunaux pour en avoir édité les oeuvres. Aujourd'hui le divin marquis, à l'instar de Montaigne ou de saint Augustin, est honoré d'une publication en Pléiade supervisée par un des meilleurs connaisseurs français du XVIIIe siècle, Michel Delon. Ce second volume, une merveille d'érudition, nous présente une vision perspective de l'évolution sadienne en regroupant toutes les oeuvres consacrées à Justine. Cette héroïne fut en effet, pour Sade, la compagne d'une vie (à l'image de Faust pour Goethe ou de Figaro pour Beaumarchais, note pertinemment l'éditeur). Plus qu'un personnage, elle fait figure d'archétype romanesque indéfiniment réemployable. On trouvera en effet dans l'ouvrage Les Infortunes de la vertu(1787), Justine ou les Malheurs de la vertu(1789), puis La Nouvelle Justine(1791). Au fil de ces trois textes, on voit l'écriture sadienne se densifier, les péripéties se ramifier et les personnages s'enrichir, prendre épaisseur et éloquence. Car Sade est à la fois l'homme du récit et de la démonstration. L'idée que la vertu, incarnée par Justine, ne procure que drames et souffrances, que seul le vice est source de joie et de réussite s'incarne dans des récits de plus en plus complexes où péripéties et discours vont se ramifiant. Le lecteur est ainsi porté, au fil de textes balisés par de savoureuses gravures érotiques détaillant pratiques et postures, par des scènes de drames, de débauches et de torture entrecoupées d'amples démonstrations sur la morale et la société. Suivi d'un troisième tome, ces trois Justine nous permettent également d'apprécier cette vérité longue à être reconnue : que Sade est, avec Pascal, Proust et Céline, un des plus grands écrivains français

In order to complete training successfuIly, every psychoanalyst has to be a supervisee. This experience leads each analyst to want to become a supervisor. Until recently, very little has been discussed about wh at supervision is, how it is done, and how it is related to the various theories of psychoanalysis that are held as articles of faith. The 1980-1981 program of the William Alanson White Psychoanaly­ tic Society was devoted to supervision-with representatives of various "schools" demonstrating their ways of doing consultations with ana­ lysts about patients. This book is an extension of that endeavor. In it, supervisors of various persuasions discuss this topic. The editors-Leopold Caligor, Philip M. Bromberg, and James D. Meltzer-are to be congratulated for the high level of discourse repre­ sented by the various chapters. They are to be commended as weIl about the eloquent statement this book makes-namely, there are many an­ swers and approaches and no final answer to the questions raised by the volume.

Supervision is growing in importance in all professions as a means of focusing on the personal and vocational skills of the supervisee, as well as a means of supporting them in their work. In this book Mooli Lahad argues that the most effective method of supervision uses both right and left hemispheres of the brain, the intuitive and logical. He encourages the use of metaphors, images and stories to enrich theoretical knowledge and improve our understanding of the processes of therapy and support.In Creative Supervision Lahad introduces techniques, drawn from the expressive arts therapies, which can be employed during a supervision to release information from the creative hemisphere of the brain. These techniques include storytelling, role-playing, guided fantasy, imaginary dialogues, letter-writing, drawing, and the use of colours and shapes. Case examples show how the techniques were used, and how they provided insight into problematic relationships with clients. Drawing from his experiences of working in the aftermath of tragedy in Israel, Northern Ireland and the former Yugoslavia, Lahad examines how to supervise a crisis intervention team: he also focuses on self-supervision.Combining humanistic, creative and practical approaches, Creative Supervision gives a fresh, new perspective which will inspire supervisors to re-think their practice.

In order to complete training successfuIly, every psychoanalyst has to be a supervisee. This experience leads each analyst to want to become a supervisor. Until recently, very little has been discussed about wh at supervision is, how it is done, and how it is related to the various theories of psychoanalysis that are held as articles of faith. The 1980-1981 program of the William Alanson White Psychoanaly­ tic Society was devoted to supervision-with representatives of various "schools" demonstrating their ways of doing consultations with ana­ lysts about patients. This book is an extension of that endeavor. In it, supervisors of various persuasions discuss this topic. The editors-Leopold Caligor, Philip M. Bromberg, and James D. Meltzer-are to be congratulated for the high level of discourse repre­ sented by the various chapters. They are to be commended as weIl about the eloquent statement this book makes-namely, there are many an­ swers and approaches and no final answer to the questions raised by the volume.

Clinical supervision in community mental health is a dynamic, fast-paced process full of opportunities and challenges for both supervisor and supervisee. Join us in introducing and exploring The Empowerment Model of Clinical Supervision, a supportive framework that encourages quality supervision and active participation in mental health professional growth and development. Enhance your clinical judgment through thought-provoking vignettes of challenges faced in community mental health and develop strong supervision skills to support your team.